Une communauté citoyenne partageant l'amour de la Tunisie
La majorité de nos membres fondateurs ont un parcours marqué par un engagement personnel ou collectif au sein de divers partis politiques ou associations militantes. Tous sont unanimes sur un constat partagé : une classe politique, une pseudo-élite intellectuelle et un État incapables de tirer profit des ressources et des compétences de la nation, de créer une dynamique de co-construction ou de collaboration, et incapables de placer les intérêts suprêmes de la nation au-dessus des intérêts partisans à court terme. Ce constat est valable aussi bien pour les partis politiques que pour les instances de l’État. La version 01 de notre plan de transformation a fait l’objet de 900 mails ou messages LinkedIn, sans aucun retour à ce jour de la part de l’essentiel des grandes organisations de notre pays. Seules 12 grandes personnalités nous ont répondu avec des messages de soutien, mais sans aboutir à des actions concrètes d’échanges ou de partage d’idées.
En 2019, nos fondateurs décident de s’unir pour élaborer un plan de transformation de la Tunisie, initialement destiné à être publié sous forme d’un livre. Cette initiative débouche en 2020 sur la création de notre premier site web et la publication d’une synthèse de notre plan de transformation, accompagnée de plusieurs articles thématiques. Devant le succès populaire rencontré par nos publications et l’absence de dialogue de la part de l’État concernant nos propositions, nous prenons la décision fin 2022 de restreindre notre communication afin de nous focaliser sur la finalisation de nos études, la publication complète de nos travaux en 2024, ainsi que sur la mise en place d’une entreprise d’économie sociale et solidaire à but non lucratif. Nous convertissons ainsi ce qui était à l’origine un mouvement citoyen populaire en ligne en une structure professionnelle dédiée à l’analyse stratégique et à l’exercice d’une influence positive :
A) Une fondation de type THINK AND ACT TANK sous la forme juridique d’une entreprise d’économie sociale et solidaire à but non lucratif.
B) Nous ne sommes donc pas une association, ni un parti politique, ni une instance de l’État.
C) La fondation ayant un statut juridique d’entreprise sociale, elle ne pourra jamais devenir un parti politique.
D) Aucun de nos membres fondateurs n’a d’ambition politique personnelle. Notre attention collective est uniquement portée sur l’influence par les idées et les solutions.
E) La stratégie de financement de la fondation est basée d’une part sur le crowdfunding et d’autre part sur la réalisation de projets liés à l’économie sociale et solidaire. Les bénéfices de notre prochain livre ou de nos prochaines conférences alimenteront aussi nos financements.
Une organisation agile et collaborative
Le collège des sages
Une équipe « chef d’orchestre » expérimentée de dimension internationale ayant des valeurs humaines fortes comme le partage, la collaboration, l’intégrité et l’excellence
Le collège stratégique
Un comité stratégique qui pilote et valide toutes les études, qui assure la cohérence d'ensemble et le respect de la méthode
Notre panel d'experts
Des experts du contexte national et des secteurs clés qui interviennent à la demande sur leurs sujets : des hauts cadres privés ou de l’état, des enseignants et chercheurs, des stratèges et des consultants, des artisans, des agriculteurs, des techniciens de l’industrie, des professions libérales, des startups, des membres de la société civile
Les jardiniers de l'Oasis
Des membres actifs et des followers répartis sur tous le territoire, de toute classe sociale et de tout âge : 300 membres actifs déclarés. 12 000 lecteurs uniques sur notre site dont 35% en région (hors Tunis, Sfax, Sousse) . 32 000 followers directs sur nos réseaux. Des records de lecture dans les médias et de partage sur les réseaux sociaux
Une visibilité internationale exceptionnelle
Une forte visibilité internationale de notre site web répartie sur près de 30 pays et sur quatre continents : Maghreb, France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Italie, Espagne, Allemagne, Suède, Canada, USA, Brésil, Chili Japon, Corée, Chine, Cote d’ivoire, Gabon, Sénégal, Burkina Faso, Qatar, Turquie, UAE, Koweït, Egypte.
Une organisation politique qui ne dit pas son nom ?
Nous nous efforçons de redonner sa noblesse et son sens au mot « politique », ainsi qu’aux hommes et femmes qui y consacrent tous les sacrifices.
- Nous ne reconnaissons que la définition du mot « politique » en son sens de civilité, ou « politikos », qui désigne ce qui est relatif à l’organisation ou à l’autogestion d’une cité ou d’un État et à l’exercice du pouvoir dans une société organisée. Cela inclut la gouvernance, l’organisation et les débats publics sur les idées permettant de définir cette gouvernance et cette organisation.
- Nous excluons de notre définition le processus de « lutte » ou de « politiké», permettant d’accéder au pouvoir grâce au code électoral. Pour nous, cette étape n’est pas de la « politique », mais plutôt une « lutte pour le pouvoir » qui exclut de par sa nature tout débat de fond sur les idées. Un processus qui est devenu au fil du temps et dans l’ensemble des sociétés modernes, au mieux une opération de marketing au pire et en majorité, une opération fondée sur la manipulation, le mensonge, la corruption des médias, l’utilisation massive des technologies pour la propagande de masse.
- Par « exercice du pouvoir », nous entendons prendre les décisions et les actions permettant de garantir les missions de l’État telles que définies dans la Constitution et selon les objectifs et les orientations partagées avec le peuple en amont du processus électoral. Ce processus électoral est censé présenter le résultat des travaux en amont pour convaincre le peuple.
- Comment parler d’agriculture sans se prononcer sur la politique agricole ? Comment parler de la numérisation de la justice sans parler de la politique pénale ?
- Définir une stratégie industrielle, agricole, sociale, économique ou écologique est de la « politique » au sens noble et historique du terme. C’est un processus long et complexe qui se situe bien en amont des phases électorales de lutte pour le pouvoir.
Nous sommes donc une organisation apolitique si le sens du mot politique est utilisé à une acception plus restrictive, celle de la politique au sens de « politikè » ou d’art politique, qui se réfère aux luttes de pouvoir et de représentativité entre des hommes et des femmes de pouvoir, et aux différents partis politiques auxquels ils peuvent appartenir.
Nous sommes une organisation politique de civilité ou du « politikos » qui se prononce par sa vision sur le mode d’organisation de la cité et la pratique de la gouvernance de la cité. Nous ne sommes donc pas une organisation participant à la « politiké » et donc aux luttes de pouvoir.
Nous militons pour que ces deux phases puissent avoir dans le futur des noms différents, car nous prédisons un effondrement de l’organisation classique autour de partis dits « politiques ».
Une stratégie de conquête basée sur l'influence positive
Cet effondrement des partis dits « politiques », tant dans le monde qu’en Tunisie, nous impose de créer une nouvelle stratégie pour la mise en œuvre de nos idées. Nous avons choisi de devenir la principale force d’influence pour défendre les intérêts du peuple et de la nation. À l’image de personnalités telles qu’Elon Musk et Greta Thunberg, dont l’influence dépasse souvent celle des institutions politiques traditionnelles, nous voyons le potentiel d’impact significatif à travers des voies non conventionnelles. Elon Musk, par exemple, a révolutionné plusieurs industries, de l’automobile avec Tesla à l’aérospatiale avec SpaceX, influençant directement les politiques énergétiques et technologiques mondiales. Greta Thunberg, quant à elle, a commencé par de simples grèves scolaires pour le climat et est rapidement devenue une figure de proue mondiale en matière de sensibilisation aux changements climatiques, incitant les dirigeants mondiaux à agir.
En Tunisie, la joueuse de tennis Ons Jabeur exerce une influence plus marquée que n’importe quel politicien sur la jeunesse, les femmes et le monde du sport. De plus, son rayonnement international contribue positivement à l’image de la Tunisie. Ces exemples montrent que des individus ou des groupes déterminés peuvent, grâce à leur vision et leur engagement, susciter des changements profonds et durables, même en l’absence de soutien des structures traditionnelles.
- Influence sur les citoyens (conscience collective) : Nous visons à éveiller et renforcer la conscience collective en sensibilisant les citoyens à l’existence de solutions concrètes et à la disponibilité des compétences nécessaires pour mettre en œuvre ces solutions. Nous nous attachons également à être pédagogiques sur des sujets clés tels que le changement climatique et l’économie. Nous luttons contre les dogmes destructeurs qui, bien qu’ils n’aient jamais fait l’objet de démonstrations de pertinence, sont toujours mis en œuvre par l’État, la classe politique, ainsi que par certaines écoles et universités.
- Influence sur les organisations de la société civile – Notre objectif est de collaborer avec les associations, les syndicats, les écoles, les universités et même les centres de recherche pour diffuser nos idées et initier des projets qui reflètent nos valeurs et nos objectifs et qui démontrent la pertinence de nos solutions.
- Influence sur l’élite politique, médiatique et économique – Nous cherchons à former des alliances stratégiques avec des leaders d’opinion et des décideurs dans les sphères politique, médiatique et économique pour promouvoir des politiques et des pratiques qui soutiennent notre vision.
- Influence sur les élections – En posant les questions auxquelles nous avons les réponses, nous ambitionnons d’orienter les débats et les agendas électoraux pour que nos propositions deviennent des enjeux centraux lors des élections.